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On peut toujours rêver.

Voyager à l’horizontal

Les jours où de causes en effet

La vie nous cogne, la vie fait mal.

 

On peut toujours rêver

Le cœur nu aux pieds des passants

Qui vont tout droit, sans regarder

Tes yeux baissés, perdus, mendiants.

 

Comme un bouddha enfuit du temple

Dieu a égaré ses apôtres.

Habillés de désirs trop amples

Chacun de nous vit sans voir l’autre.

 

On peut toujours rêver

Le soir où il n’y a personne

Avec qui enfin partager

Nos émotions au téléphone.

 

On peut toujours rêver

Assis autour d’une table ronde

Aux âmes qui s’en sont allées

Au gré des ondes, vagabondes…

 

Comme un bouddha enfuit du temple

Dieu a égaré ses apôtres.

Habillés de désirs trop amples

Chacun de nous vit sans voir l’autre.

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Présentation

  • : Paroles d' Athenea
  • : Textes, poèmes, pensées et émotions à partager.
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Profil

  • Athenea
  • Ma passion est l'écriture. j'ai écris de nombreux textes à partir de mélodies ou simples poèmes. Si vous êtes compositeur / interprète et que ces quelques mots vous parlent...
  • Ma passion est l'écriture. j'ai écris de nombreux textes à partir de mélodies ou simples poèmes. Si vous êtes compositeur / interprète et que ces quelques mots vous parlent...

Spiritualité

Le maître enseigne non parce qu'il sait plus que l'élève mais parce qu'il est plus que l'élève : il voit ce que ce lui-ci ne voit, il comprend ce que celui-ci ne comprend pas, il peut ce que celui-ci ne peut pas.  "Les chemins de la sagesse" Arnaud Desjardins

Texte Libre

 

Ignorer tes désirs ne fait que les mettre en attente,
Et ton corps ne se laissera pas abuser,
Car il est la harpe de ton âme,
Orchestre le tout, il t'appartient de faire
de ta vie une mélodie harmonieuse ou discordante
.

"Le Prophète" Khalil Gibran


Ecrire

Ecrire….

 

De grands points d’interrogations

Jouent à cloche pied entre les lignes

Et des soupirs d’exclamations

Ponctuent les textes que je signe.

 

Quand ma main file sur la page,

Mon émotion comme une épave

Abandonnée un soir d’orage

Sur les mots pose des accents graves.

 

Sur mes amours en parenthèses,

Comme une larme, l’encre s’écrase

Et en transit, ma plume blesse

De petits points le bout des phrases.